PETIT ROUGE GORGE DU JARDIN

L’automne arrive et avec lui la préparation du jardin pour l’hiver.

à chaque fois que je me mets à gratter la terre, un petit compagnon vient me tenir compagnie… ce qui me semble logique, pour un compagnon. 

Celui-ci est un joli rouge gorge du genre « effronteis mempapeurus ». Il vient me bouffer les vers de terres jusqu’entre mes jambes !

Il ne fait jamais de bruit, souvent, je m’aperçois qu’il était là lorsqu’il s’envole…  un ver dans le bec.

Alors, je me mets un verre dans le bec !

 

 

URVILLE-NACQUEVILLE Le goéland brun

Ce matin, lors de ma promenade matinale, je suis attiré par un goéland brun.

 Ce goéland un peu plus grand que le goéland argenté mais moins abondant que celui-ci, est souvent confondu avec le goéland marin. Ce dernier a les pattes roses et est  encore plus gros. Le goéland brun a les pattes jaunes. Habituellement assez vif, il ne se laisse pas approcher.

GOÉLAND  MARIN

Mon goéland brun de ce matin, est posé à l’embouchure de la Biale.  Il bouge peu. Je m’aperçois, en l’approchant, qu’il a le bec entrouvert ou déformé. Je pense qu’il doit être malade ou a du mal à s’alimenter. Ramassé sur lui-même, ses plumes sont ébouriffées et il est nonchalant. 

URVILLE-NACQUEVILLE : Les iris des marais

Notre région est parsemée de nombreux marais, Ici, ce sont des marais marins. J’aime à y écouter de la viole de gambe.

Ce que j’aime, au printemps, ce sont les iris des marais dont le jaune éclaire les graminées et les cigües voisines. (Attention, pas touche !)

Ils poussent uniquement dans les marais ou au bord des cours d'eau. 

Je connais une Iris qui fréquente de temps en temps la plage d’Urville… aussi belle et sympathique que ces fleurs de printemps…

 

URVILLE-NACQUEVILLE, Une nouvelle œuvre ?

Un blockhaus devient toile de maître ? On en oublierait presque sa fonction et on accepte mieux sa présence. Dans des articles précédents je parle de ces quelques blockhaus D’Urville-Nacqueville qui se sont fait support à des œuvres.

 

Aujourd’hui, une surprise m’attendait avec impatience.

Le blockhaus dont je parle dans l’article du 30 octobre 2016 :
 (œuvres éphémères)

a été repeint d’un vert clair, uniforme…

Serait-ce le début d’une nouvelle œuvre ?

Est-ce la marque d’un amateur de blockhaus ternes qui ne supporte pas les couleurs ?

Nous le saurons peut-être dans quelques jours…

A suivre…